La sécurité alimentaire et le projet d’extermination totale

Par Akil Cheikh Hussein

La présence de saletés et de microbes dans les aliments est certes un problème grave. Pourtant elle n'est qu'une partie d'un problème encore plus grave : Un véritable danger menace l'existence même de la nourriture. Les causes les plus en vigueur sont nombreuses mais elles servent à en masquer la cause principale que représentent les projets d'extermination massive parrainés par les cercles sataniques.
L'absence de ce qu'on appelle la «sécurité alimentaire» occupe d'ors et déjà une place qui est, peut-être, la plus éminente parmi les problèmes dont souffre le monde d'aujourd'hui. Tout le monde sait maintenant que ce problème s'aggrave de jour en jour. Au point qu'il est devenu possible pour les famines qui tuent des dizaines de millions de personnes chaque année de se généraliser pour toucher le genre humain tout entier et le transformer en une espèce exposée à l'extinction tout comme les dizaines d'espèces végétales et animales qui s'éteignent chaque minute.
Des facteurs de nature civilisationnelle (dus à l'homme et son activité) sont responsables de cette grave évolution de la situation. Sont à l'index des phénomènes comme la catastrophe climatique qui est en recrudescence continuelle, comme la désertification des terres agricoles, la grande diminution des produits alimentaires élémentaires et l'abandon des zones rurales qui a transformé 90 pour cents de la population mondiale en citadins qui ne peuvent qu'exacerber la crise alimentaire.

L'extermination comme solution radicale

Certes, les cercles sataniques accusent la reproduction et l'augmentation de la population mondiale d'être la cause principale ou exclusive de la pénurie alimentaire. D'où les appels de plus en plus pressants à la limitation de la reproduction.
Ce qui est terrifiant est que le bon accueil général de ces appels risque d'être suivi par l'acceptation d'appels encore plus «radicaux» pour lesquels le meilleur moyen de résoudre le problème alimentaire serait de réduire massivement le nombre des humains vivant sur la planète.
On sait qu'il existe un véritable projet visant à affamer les êtres humains et que ce projet constitue, avec la promotion de l'homicide par des manipulations comme la propagation des guerres et des maladies, une partie intégrante d'une stratégie adoptée par les cercles sataniques dans le but d'exterminer la majeure partie des humains, tout en les persuadant qu'ils devraient être heureux parce qu'ils servent une cause sublime. 

Pourquoi et dans l'intérêt de qui ? 

Là, il faut s'arrêter devant les "Georgia Guidestones". Il s'agit d'un monument constitué de quatre blocs rocheux dressés, en 1980, dans la ville d'Elberton en Géorgie aux Etats-Unis. Sur ces blocs sont gravés «dix commandements» nécessaires pour l'édification d'un monde en perpétuel équilibre avec la nature.
Le premier de ces commandements stipule qu'il est urgent de «maintenir la population mondiale à moins de 500 millions de personnes». Quant au dixième, il exhorte les gens en ces termes : «Laisser une place à la nature !». En d'autres termes : «Mourrez pour que vive la nature !».
Les devises des mouvements écologistes qui prônent le respect de la nature en tant que source de vie pour l'homme sont ainsi travesties par la machine de la fourberie satanique et mises au service du projet d'extermination massive. L'on ne doit pas s'étonner, étant donné le pouvoir prégnant de la propagande satanique sur les faibles d'esprit, si on voie les masses humaines s'immoler joyeusement sur l'autel de la nature.
Mais quelle est cette nature qui, pour vivre, il lui faut s'abreuver du sang de huit milliards d'âmes humaines ?

L'élite mondiale !

Elle est tout simplement cette idole moderne que les gens sont menés à adorer par ce qu'on appelle l'«élite mondiale». Celle-ci nourrit des rêves comme la construction d'une colonie «climatisée» sur une étoile pour y vivre après avoir mis la vie sur notre planète au bord du gouffre.
Ou, d'une manière plus réaliste dont on voit les expressions dans les paradisiaques demeures que certains nantis installent sur terre tout en les protégeant contre les affamés et les intrus.
Ou, d'une manière encore plus réaliste, comme le fait de se débarrasser des affamés et des intrus en les envoyant à la mort d'une manière ou d'une autre.
Les «prêtres» qui servent cette idole sont des personnes comme le prince Philip de Grande-Bretagne qui, en 1988, a exprimé le souhait d'être «un virus mortel» pour pouvoir réduire le genre humain.
Ou comme Bill Gates qui a parlé récemment de l'opportunité de réduire le nombre d'humains de 10 ou 15 pour cent grâce à des nouveaux vaccins et autres soins de santé.
Ou comme Henry Kissinger, David Rockefeller Jr, Warren Buffett, George Soros, Michal Bloomberg, Ted Turner et Oprah Winfrey qui sont tous des personnalités «remarquables» qui ont émis des déclarations considérant que huit milliards d'humains est une chose insupportable et qu'il convient de réduire la population mondiale à moins de 500 millions qui pourraient vivre en équilibre avec la nature.
Certes, les nourritures empoisonnées sont un problème. Mais ce problème ne doit pas masquer le projet d'extermination visant la majorité des humains par la provocation des guerres, des maladies et des famines. Mais aussi par les soins de santé. 

Source : French.alahednews