Le trafic d’organes, nouveau mode d’action des rebelles à Alep

La ville syrienne d'Alep est, de nos jours, le théâtre d'un vaste trafic d'organes dirigé par les groupes armés de la soi-disant «opposition syrienne».
Selon des informations médiatiques, les groupes armés dans la campagne d'Alep pillent les dépouilles et les organes humains des victimes. Sous couvert de secours, ces bandes les transportent en Turquie, où ils sont vendus à un prix stable : Le cadavre vaut 10 mille Livre syrienne , le blessé 100 mille.
Un habitant du quartier Boustan al-Qaser, contrôlé par le front al-Nosra, a souligné au quotidien libanais Assafir que l'un de ses camarades blessés lors d'une explosion a été hospitalisé en Turquie. De retour en Syrie, il a découvert que l'un de ses reins a été volé.
«Lorsqu'une déflagration survient, un groupe se dirige immédiatement sur les lieux sous le prétexte de secourir les blessés et récupérer les cadavres», révèle-t-il.
Dans ce cadre, des médias syriens ont fait état de l'implication dans le trafic d'organes, des docteurs entrés clandestinement dans le pays via les frontières turques sous le prétexte de soigner les blessés.
Parallèlement, le journal turc «Yurt» rapporte que les rebelles syriens kidnappent et tuent les Syriens. Puis, ils coupent leurs organes et les vendent à des coûts élevés à des personnes concernées dans le trafic d'organes.
Source : Assafir, traduit par : moqawama.org
Selon des informations médiatiques, les groupes armés dans la campagne d'Alep pillent les dépouilles et les organes humains des victimes. Sous couvert de secours, ces bandes les transportent en Turquie, où ils sont vendus à un prix stable : Le cadavre vaut 10 mille Livre syrienne , le blessé 100 mille.

«Lorsqu'une déflagration survient, un groupe se dirige immédiatement sur les lieux sous le prétexte de secourir les blessés et récupérer les cadavres», révèle-t-il.
Dans ce cadre, des médias syriens ont fait état de l'implication dans le trafic d'organes, des docteurs entrés clandestinement dans le pays via les frontières turques sous le prétexte de soigner les blessés.
Parallèlement, le journal turc «Yurt» rapporte que les rebelles syriens kidnappent et tuent les Syriens. Puis, ils coupent leurs organes et les vendent à des coûts élevés à des personnes concernées dans le trafic d'organes.
Source : Assafir, traduit par : moqawama.org
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