Le Qatar défend sa politique envers la Syrie et prône la paix avec "Israël"

Le chef du gouvernement et ministre des Affaires étrangères qatari, Cheikh Hamed Ben Jassem al-Thani, a refusé les critiques contre le rôle de son pays dans le conflit syrien, affirmant explicitement la volonté d'instaurer une paix avec l'entité sioniste.
Le responsable qatari a prétendu dans une rencontre avec la télévision allemande, Deutsche Vella, relayée par l’agence de presse allemande, qui sera diffusée dans son intégralité dimanche prochain, que "l’important est comment peut-on arrêter le bain de sang en Syrie. Je pense que s’il y avait une solution politique, elle ne serait réalisée qu’en présence d’un certain équilibre entre les deux forces en place en Syrie. Nous voulons accomplir quelque chose de concret à ce sujet".
En réponse à la question sur les flux d'armes acheminées à l’opposition syrienne, le Premier ministre qatari a rétorqué : "il s’agit tout naturellement d’une décision souveraine. Mais, la Ligue arabe et le sommet arabe ont entériné ce principe".
Cheikh Hamed Ben Jassem a allégué que l’objectif de son pays "est plutôt d’instaurer la paix et la stabilité dans le monde arabe". "Même avec Israël, il faut qu’il y ait paix", a-t-il révélé.
Cheikh Hamed Ben Jassem a renouvelé ses critiques envers le régime de Bachar al-Assad, l’accusant de vouloir gagner plus de temps, en s’interrogeant : "le régime syrien veut-il régler le sujet politiquement, ou veut-il jouer et prendre du temps, tout au long de la présence de Lakhdar Ibrahimi, auquel on fait confiance, et dont on appuie la mission."
Au sujet des critiques de l’opposition égyptienne à l’endroit de la politique d’investissement du Qatar en Egypte, Ben Jassem a prétendu que ces critiques sont sans fondements. "La plupart des sujets qui ont été évoqués sont des rumeurs erronées", a-t-il dit.
Source: agences
Le responsable qatari a prétendu dans une rencontre avec la télévision allemande, Deutsche Vella, relayée par l’agence de presse allemande, qui sera diffusée dans son intégralité dimanche prochain, que "l’important est comment peut-on arrêter le bain de sang en Syrie. Je pense que s’il y avait une solution politique, elle ne serait réalisée qu’en présence d’un certain équilibre entre les deux forces en place en Syrie. Nous voulons accomplir quelque chose de concret à ce sujet".

Cheikh Hamed Ben Jassem a allégué que l’objectif de son pays "est plutôt d’instaurer la paix et la stabilité dans le monde arabe". "Même avec Israël, il faut qu’il y ait paix", a-t-il révélé.
Cheikh Hamed Ben Jassem a renouvelé ses critiques envers le régime de Bachar al-Assad, l’accusant de vouloir gagner plus de temps, en s’interrogeant : "le régime syrien veut-il régler le sujet politiquement, ou veut-il jouer et prendre du temps, tout au long de la présence de Lakhdar Ibrahimi, auquel on fait confiance, et dont on appuie la mission."
Au sujet des critiques de l’opposition égyptienne à l’endroit de la politique d’investissement du Qatar en Egypte, Ben Jassem a prétendu que ces critiques sont sans fondements. "La plupart des sujets qui ont été évoqués sont des rumeurs erronées", a-t-il dit.
Source: agences
Comments
person sami24
MESSAGE CACHEE
L'émir voudrait que la Syrie abandonne le chemin de la résistance. Voilà qu'il se mette à parler en se cachant derrière des questions, après tant d'affirmations, de certitudes. Il cherche une solution au feu qu'il vient d'allumer. Il commence à sentir la chaleur du vent qui tourne, qui le consumera, après avoir abandonné le seul chemin valable RESISTANCE RESISTANCE RESISTANCE
